Affaire Balouga, la parole est à la défense !

Peut etre que samedi dernier, la dame de Balouga avait ses ragnagna Chacha ? en tout cas j’ai peut etre eu du bol mais quand j’ai emmené Jo à leur 4ème atelier le mois dernier, j’aurais même pu dire qu’elle était très sympa, si j’avais fait mon post en temps et en heure ! (au fait merci pour l’occaze en or de ressortir cette idée de post des oubliettes)

D’abord, pour rire, une petite série photo : « LES MEMES, MAIS EN MOINS BIEN« 

La fameuse boutique Balouga, qui se situe rue des Filles du Calvaire, organise environ deux fois par an des ateliers pour les enfants, et jusque là j’avais loupé les précedentes éditions… Le thème du jour c’était découvrir l’artiste Katsumi Komagata un graphiste Japonais qui réalise des merveilles de livres d’enfant, avec des pliages, découpages enfin des trucs de dingue – vaut mieux que vous alliez voir sur son site je suis trop pas douée pour faire l’article à mon grand regret…

L’esprit de l’atelier c’était de s’inspirer de ceci

Je dépose donc Jo et sa petite copine à la dame de la boutique (qui devait apparemment avoir passé la délicate période J1-J8) qui m’explique que j’ai deux heures avant de venir récuperer les louloutes, et que je suis en plein quartier des Galeries d’Art, la rue de Bretagne tout ça, et que ce serait une occase en or de découvrir des artistes blablablabla et par exemple la ballade pourrait commencer blablablabla (moi dans ma tête je sais déjà précisemment où et comment je vais occuper les deux prochaines heures mais j’écoute gentiment desfois que Bonton, Zef  ETCalesta soient fermés inopinément pile ce jour là, moi et mon bol on sait jamais).

Je finis par m’éclipser, laissant les deux copines avec un autre petit garçon à une animatrice enjouée : un atelier à 3, parfait ! surtout quand il y a des paires de ciseaux au programme, moi je dis. 

Et hop, à moi le quartier des boutiques enfants de folie !

Alors autant l’ambiance polaire et les vendeuses mal embouchées, je n’ai jamais vraiment été confrontée nulle part, en général enfin plutôt les rares fois où je mets  les pieds dans les boutiques chics on répond toujours à mon BONJOUR ! autant dans ces boutiques là, moi mon sentiment c’est … d’être un pauvre brouillon (merci Steph pour le terme adéquat c’est vraiment ça ! )

Bah oui là dedans ça loupe pas y a toujours la famille parfaite, le monsieur et la dame qui sortent de Vogue, elle léger accent anglais, lui gros accent italien, beaux comme Clemence Poesy et Jude Law, leurs deux petites filles tout aussi sublimes, aux prénoms plus hype tu meurs (non pas Brenda ni Britney non je confirme) dessinant sagement, lookées direct from Milk, en attendant que papa et maman finissent d’acheter toute la boutique. Et moi chuis là, avec ma pauvre dégaine -pratique certes mais bon -, à soupeser pendant 1/2h l’article le moins cher de la boutique parceque quand même qu’est ce que c’est joli mais à ce prix là va falloir choisir entre la paire de chausettes et l’écharpe. (Oui j’avoue j’ai pris l’écharpe).

Enfin bon, j’y vais plus pour mater, en fait, dans ces boutiques, mater les produits of course, mais aussi et surtout mater les clients…

Bref je m’égare et on est déjà deux heures plus tard, et pendant ce temps là, ça a bien coupé collé colorié comme il faut

TADAM !

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