Chez les Opio c’était GAUFFRE – PARTY
A ma portée, il suffit juste d’appuyer sur un bouton, Mr Opio ayant eu la délicatesse (ou alors la hantise d’imaginer le carnage potentiel s’il m’avait laissée faire ?) de confectionner la pâte.
Voici donc la bête : 
Je lis AT-TEN-TI-VE-MENT les instructions :
Voi-lààààààààààà
Oups, bon une seule goutte, ça va c’est pas ce qu’on appelle « faire déboorder » !
Ah ? hmm bon… arf ?
Bon ben pas le choix d’façons faut attendre que ça cuise… Oui oui ça vient ! 2mn30 de chaque côté y a marqué !
bon dommage que j’aie pas lu tout comme il fallait, en fait il y avait un indicateur de cuisson, prêt ou pas prêt. De toute évidence, j’ai stoppé un poil trop tôt…
Toujours cet eternel souci au démoulage, et dire que j’ai pourtant accouché en 2h sans péri de ma fille ainée, si c’est pas malheureux
Allez, nappée de Nutella ou de sucre, on n’y verra que du feu
Seconde fournée, même pas peur
Ah oui zut j’aurai du nettoyer les précedents dégats AVANT, maintenant ça crame sur les côtés
mais c’est carrément de la gauffre de compète çà !
Oui le pot de Nutella y est passé, je confirme…
Slurp, maintenant on passe au lavage, je suis sceptique :
Résultat demain matin… quel suspens !
Bon et sinon, ça se garde combien de temps une pâte à gauffre, parceque niveau quantité, il a pas trop le compas dans l’oeil Mr Opio !!!! (je suis mauvaise, on avait prévu de faire ça au brunch dominical, pis on a oublié, dommage hein Petit Arbre !!!!)
Edit du matin : les plaques sont ressorties dans le même état exactement qu’à leur rentrée dans le LV…
