Comme tu es belle

18 janvier 2011 31 Par opio
Allez, on se reprend, et on ose exhumer des archives les brouillons avortés. Encore que celui ci ne date pas de trop longtemps, à peine du mois dernier, comparé à ceux de septembre que j’ai également décidé de sortir progressivement des cartons.
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Enfin, une chose à la fois, nous en étions à décembre.
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Décembre et son cortège de cernes, de nuits daubesques, de stress et d’énervement. Alors quand on m’a gentiment proposé d’aller découvrir une nouvelle crème au Bon Marché, autour d’une petite coupette, je n’ai pas hésité longtemps.
Juste une demi seconde, quand j’ai lu qu’il s’agissait d’une crème anti rides, et que je me suis sentie complètement hors cible. (MAIS HA HA HA !)
En même temps un rapide coup d’œil dans le miroir et à ma tronche chiffonnée, je n’avais aucun intérêt à me priver d’une promesse d’effet repulpant.
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J’ai donc pu découvrir la crème créée par Olivier Claire, sans paraben, ni trucs en « -ol » super-dangereux-pas-bien, mais avec une petite touche mentholée pas désagréable.
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Et puis j’ai pu constater que chez mes consœurs, ça rigolait pas niveau conscience professionnelle :

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Je suis revenue à la maison avec mon petit échantillon et le dossier de presse, ce qui n’a pas manqué d’étonner Maureen : « c’est bizarre maman, t’as un tout ptit pot de crème et un très gros tas de papiers ?«   ben écoute ma mignonne, quand t’auras fait l’ESJ de Lille tu me diras si les proportions sont inversées, hein.
Et puis d’abord, quand 15 jours plus tard on m’a proposé de recevoir le gros pot, celui qui coûte bonbon quand même (88 euros) ben j’ai dit non (chuis conne hein ? ) mais il se trouve qu’un mois après, je n’ai toujours pas fini mon rikiki pot. Parce qu’il faut mettre un tout petit peu de produit, donc finalement le gros pot à ouate mille, il est pas si cher que ça à l’usage.
Alors évidemment même pas en rêve je fais un avant/après en photo, je vous dirais juste que j’aime bien cette crème : je la trouve chouette.
(Bah oui mais bon désolée, j’ai pas mieux, j’ai pas fait l’ESJ de Lille, moi, vous aurez remarqué). 
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On m’a quand même offert le café la dernière fois que j’ai déjeuné seule à la crêperie à côté du bureau, j’ai pas osé demander si c’était de la pitié ou parce que j’étais repulpée à mort.