Les devoirs c’est bonnard 4

Et oui le rythme s’intensifie, à tel point que je viens de créer une catégorie spéciale « les devoirs c’est bonnard » car quelquechose me dit que c’est une catégorie à fort potentiel.

Dans un précedent épisode, je vous avouais que les devoirs avaient été délégués : 2 jours par semaine à la baby sitter, et 2 autres jours aux grands parents maternels. Mes parents donc. En l’occurence ce soir, c’est Papi Opio qui s’y est attelé.

Papi Opio, qui, je le découvre en ramassant un papier plié sur le bureau de Jo, est apparemment fermement décidé à entretenir les éventuelles capacités de sa seconde petite fille. Pour ceux qui suivent, vous noterez donc ci après, la réapparition du mot CARAMEL, et 2 autres potes à lui à sons non composés mais à plusieurs syllabes parceque sinon c’est pas drôle, destinés à occuper la petite soeur, pendant que la grande a droit, elle, à une vraie phrase de grand.

Jusque là rien de plus normal.

Je retourne le papier, et là…

Là je comprend que la classe et la finesse, l’élégance naturelle, le chic qui me caractérisent, dans ma façon d’écrire j’entends bien, mon fameux style inimittable que vous êtes des millions de milliards à plébisciter…

sans aucun doute il est mien, il vient de LA il vient du blues

merci papa

NDLR : j’ai quand même demandé quid de l’opportunité d’utiliser ce genre de phrases, ok le côté ludique tout ça m’enfin quoi… j’vais plus oser les habiller en liberty moi ensuite… c’est antinomique… bref… l’explication fut : comme ça chuis sur qu’elle essaie pas de deviner la suite des mots vu qu’elle ne les a certainement pas étudiés en classe

voui c’est sûr.